Cyclades

Avec l’Austral : Yachting de croisière en bleue et blanc dans les Cyclades

 

L AUSTRAL de la compagnie du PONANT (photo florence Gayon)

Sur les traces d’un  passé glorieux au plus prés de plages inondées de soleil, une luxueuse croisière oisive et culturelle dans les eaux azurées de la mer Egée. D’escales en escales charmeuses, elle égrene tour à tour les sites antiques de Pergame et d’Ephèse, Patmos l’île sainte où Saint Jean rédigea l’Apocalypse, Rhodes sur les traces des Chevaliers de Malte, Santorin née des convulsions de la terre, Délos l’île d’Apollon et enfin Mykonos aujourd’hui star turbulente vibrant jour et nuit. Sept jours de détente hédoniste à bord de l’Austral un des superbes bateaux de la Compagnie du Ponant  

Mêlant tout à la fois, tradition et innovation, raffinement et convivialité, l’AUSTRAL bat fièrement pavillon Français . Ce superbe yacht de caractère de 132 cabines et suites doté du label Cleanship (respect de l’environnement )reste fidèle à la philosophie de la Compagnie du Ponant : intimité, luxe, bien-être et petite capacité pour s’amarrer au plus prêt des ports et illustrer la magie du «Yachting de croisière » : un nautisme alliant l’authenticité d’un itinéraire particulièrement choisi avec à bord une atmosphère chic et décontractée ponctuée des mille attentions d’un service hors pair. Dotées de balcons, voire de vérandas donnant toutes sur la mer, les cabines à l’élégance discrète décorées par des designers français s’avèrent merveilleusement pratiques et spacieuses. Les lits immenses délicieusement douillets et les salles de bain de marbre déclinent un raffinement ingénieux. Les différents niveaux intérieurs, les vastes ponts de teck, les salons cosy et la superbe salle à manger sont à l’avenant : la copie conforme la plus aboutie de la modernité et du confort. Les cuisines (elles mêmes dotées des dernières technicités)  délivrent à partir de produits frais achetés lors des escales une gastronomie digne des palaces qui se déguste en terrasse dés le petit déjeuner. Au déjeuner de plantureux buffets artistiquement parés déclinent fruits de mer, crudités, grillades et infinités d’irésistibles desserts. Si le soir, robes plus habillées ou smokings aiment à se montrer, le brouhaha joyeux de la salle à manger ne s’en trouve pas guindée pour autant. Doucement illuminée elle devient un cadre somptueux privilégiant les créations culinaires sublimées que vient sublimer au choix, une belle carte de vins. A l’aide du spa dernier cri signé Sothys, les danses en soirée, la gym le matin, les bains en piscine ou dans la mer et les excursions cornaquées par des guides expérimentés, pas de soucis  pour é-li-mi-ner! Uniquement placée sous le signe du plaisir, de l’indolence et de la découverte, la vie à bord apparaît monstrueusement douce. Peu ou pas d’horaires,le « all inclusive «  éloigne les soucis d’argent, rangements et ménage s’accomplissent  comme par enchantement, on change de pays sans refaire ses valises, on navigue en toute sécurité sous la houlette d’un capitaine émérite (et oh combien responsable!), une liberté souriante pour ce qui ne ressemble pas réellement à une croisière au sens ordinaire du terme. Les amis se réunissent autour du piano et entonnent quelques vieux standards. Les barmen concoctent des cocktails détonants  que l’on sirote en regardant de belles danseuses de revue avant de se réfugier dans la bibliothèque ou de paresser sur les transats . Quoi de plus délicieusement reposant ? Peut être se laisser bercer par le bruit des vagues caressant les flancs du navire tandis qu’il glisse dans la nuit .

Istanbul et son Bosphore s’éloigne dans les lueurs vespérales et l’on vogue déjà vers Dikili, petit port face à l’île grecque de Lesbos, à quelques encablures de la côte turque et débarquadère pour le site archéologique tout proche de Pergame.

Site archéologique de Pergame

Malgré les fouilles britanniques et Allemandes qui au 19eme siècle ont emportés trop de vestiges aujourd’hui à Londres ou Berlin, l’ampleur et le pouvoir mystique de Pergame sont restés intacts. Son immense temple l’Asclépéion a eu un rôle essentiel dans le développement de la médecine de l’Antiquité. Sur la partie nord se tient un vaste théâtre romain, tandis qu’un passage souterrain mène au Télesphore, sorte d’ancêtre de l’hôpital, dont la notoriété faisait acourir de partout les malades en quête de guérison. De l’espoir semble d’ailleurs encore flotter dans l’air. A quelques Kms, au cœur d’un cadre naturel splendide, l’Acropole s’érige sur une colline qu’il faut imaginer autrefois entièrement couverte de splendides édifices. Représentant l’unique témoignage de Rome, on y découvre le Temple de Trajan et ses colonnes de marbre bâties au temps des Empereurs Trajan et Hadrien. Majestueux, le Théâtre et ses 10.000 places surprend et interpelle par la verticalité abrupte de ses gradins. Il domine le Temple de Dionysos, l’autel de Zeus et quelques cailloux , les restes aujourd’hui dérisoires de la Grande Bibliothèque. Celle là même qui, au 2ème siècle av JC, faisait l’orgueil de Pergame alors à l’apogée de sa gloire. Elle rivalisait en tout point avec la célébrissime Bibliothèque d’ Alexandrie, tant et si bien que, jaloux, les égyptiensdécidèrent de ne plus fournir de papyrus empêchant ainsi toute nouvelles éditions. Les ingénieux savants de Pergame ripostèrent en inventant à partir de peaux de bêtes le « Pergamen », ce fameux parchemin qui allait conquérir le monde…

Toujours en longeant la côte turque , l’excursion suivante conduit à un petit port de pêche où au 18ème, le Grand Vizir éleva un caravansérail, une petite mosquée et des remparts. De nos jours, le caravansérail est devenu un hôtel et Kusadasi s’est transformé en centre touristique, point de départ vers les sites archéologiques majeurs de cette région occidentale d’Anatolie, villes emblématiques du règne d’Alexandre le Grand comme Priène, Milet, Didymes et surtout Ephèse.

La cité antique de Priène aujourd’hui ensensablée se trouve à quinze kms de la mer. On visite son théâtre, le temple d’Athéna dans un cadre superbe et encore sauvage et la maison d’Alexandre. Juste en face, Milet la ville sœur émerge d’un immense marécage que la mer a laissé en se retirant. Détruite plusieurs fois par les envahisseurs puis par un tremblement de terre en 1955, Milet abrite un théâtre imposant dominant l’ensemble du site et transformé en forteresse au 8ème siècle par les byzantins. Non loin se trouvent le Delphinion, l’endroit le plus romantique du site, avec ses belles colonnades patinées se reflètant sur une terre inondée. Les Thermes de Faustine, vaste complexe balnéaire ont été construit par l’épouse de Marc Aurèle. Le Temple d’Apollon à Didymes possède en son centre une grande cour pavée à ciel ouvert, c’est d’ici que la célèbre Pithie délivrait ses oracles. Hélas, de nombreux bas reliefs de ce temple sont aujourd’hui au musée du Louvre.

Une des cités antiques du bassin méditerranéen la mieux préservée, toute de marbre blanc, Ephèse étincelle au soleil et n’en finit plus de raconter comme un livre de pierre la vie quotidienne au temps des Grecs et des Romains. Son port centre de commerce majeur qui perdura jusqu’à l’époque romaine en fit sa renommée. Deux grands quartiers la fractionne : la cité haute consacrée à l’administratif avec l’hôtel de ville, la basilique civile, l’agora d’Etat et la cité basse face au port qui rassemble les bâtiments religieux et culturels : le temple d’Hadrien, la fameuse bibliothèque de Celsius, le stade et le théâtre pour 24000 spectateurs. Fouillée dès 1869, elle a retrouvé la plupart de ses rues et de ses bâtiments principaux célèbrant la gloire de Rome. Tout y est : hôtel de ville, habitations, boutiques, latrines publiques. .. Quand aux habitations des notables, leurs ruines nostalgiques s’étagent sur les pentes du mont Pion et du mont Coressos, de part et d’autre de la rue des Courètes reliant les deux quartiers. Les touristes déambulent à la suite des guides qui leur montre tour à tour : la porte Marine, les anciens therrmes, la rue de Marbre de Scholastikia. Il y a tant de ruines à voir …

Côté oriental, en l’honneur de Saint Jean l’Evangéliste banni d’Ephèse qui y fut exilé en 95, Patmos, sertie de jolies petites criques s’appelle aussi la « Jérusalem de la mer Égée ». A la mémoire du saint e l’empereur byzantin Alexis Ier fit ériger un monastère à qui il céda ensuite l’île toute entière. Dressé sur la colline au-dessus du port et construit en fait pour résister aux attaques des pirates, ce monastère médiéval ressemble plus à une forteresse qu’à une maison de prières. La chapelle du Theotokos renferme des fresques du XII ème et une partie des trésors byzantins s’exposent toujours à l’intérieur ce qui en constitue un extraordinaire musée regorgeant de fresques, d’icônes, d’objets de culte et de manuscrits. Alentour, les maisons cubiques typiques des cyclades avec leurs domes bleus apartiennent à la ville de Chora . Les minuscules églises et les grands manoirs des capitaines de marine marchande témoignent toujours de la prospérité de la ville au XVIIème et XVIIIème siècles. Au hazard des ruelles étroites, de hauts murs s’entrouvrent parfois sur le bleu étincelant de la mer. En redescendant par la route sinueuse on s’arrête à la grotte de l’Apocalypse. C’est ici que l’évangéliste vécut et que lui fut révélé le dernier texte du Nouveau Testament. on peut encore voir l’endroit précis cerclé de métal où l’apôtre reposait sa tête pour dormir et le rocher en forme de pupitre naturel sur lequel son disciple Prochoros écrivait sous sa dictée.

Au gré d’une navigation paisible,les découvertes se succèdent . Position stratégique entre l’Europe, l’Afrique du Nord et l’Asie Mineure, le littoral de Rhodes alterne rochers et plages de sable fin. A l’intérieur, les vallées boisées succèdent aux plaines fertiles bien arrosées. Colonisée par les Phéniciens de l’actuel Liban, achetée par les croisés au XIIIème, conquise deux siècles plus tard par Soliman le Magnifique, Rhodes est aujourd’hui rattachée à la Grèce. C’est en autocar que l’on traverse sur une cinquantaine de kms des vergers,des oliveraies et des villages aux maisons blanches. Lindos, figure un de ceux là. Comme dans l’Antiquité, on y accède par un chemin escarpé, ponctué d’escaliers scabreux . Ce sont les Chevaliers de Saint Jean qui le *njotransformèrent en forteresse avec château et garnison. La première porte médiévale franchie, des marches descendent vers le bâtiment administratif des Chevaliers que flanque une antique exèdre semi–circulaire, taillée dans la roche. Puis, on découvre les ruines du château et celles de l’église byzantine attenante : un chaos de pierres mêlant diverses époques. Occupant la plus haute terrasse, le sanctuaire d’Athéna , l’aire la plus sacrée, offre une vue époustouflante de beauté embrassant la mer et une bonne partie de la ville basse éclatante de blancheur. En redescendant, c’est à pied que l’on visite le vieux Rhodes pour aboutir par des ruelles aux pavés usés à l’impressionnant Palais des Grands Maîtres . A l’intérieur les superbes mosaïques grecques et romaines proviennent de l’Ile de Kios. On musarde ensuite le long de la fameuse Rue des Chevaliers jalonnée par les auberges des différentes nationalités de l’Ordre. Les sobres bâtisses aux murs lisses ponctués d’arcades forment un magnifique ensemble gothique. Son tracé rectiligne qui a repris celui d’une voie antique tranche étonnament avec le dédale sinueux alentours . Cependant , dénominateur commun : la foule et la multitude d’échoppes et d’autres magasins de souvenirs qui rythment partout les visites !

Comme suspendue au dessus d’une mer incroyablement bleue, Santorin la plus méridionale des îles des Cyclades en est également la plus spectaculaire. Souvenir grandiose de soubresauts volcaniques, sa falaise vertigineuse décline les stries d’ocre, de rouge ou de gris cendrée avec à flanc de rocher, des villages troglodytes blanchis à la chaux accrochées comme par miracle contemplant tout en bas les plages de sable noir. Forte de ses treize villages, l’île formée par le cratère d’un volcan enfoui sous l’eau possède la caldeira sous-marine la plus grande du monde. Un caïque local récupère à la coupée de l’Austral les touristes pour une mini-croisière le long de côtes où le noir des roches volcaniques alterne avec le blanc immaculé des pierres ponces. C’est très beau. Le cratère du volcan (encore actif)d se situe dans l’île de Nea Kameni. Fragments de lave et différentes roches volcaniques rythment l’ascension avant de pouvoir savourer la vue somptueuse sur Santorin et les falaises de la Caldera. Au retour, les sources thermales de Palea Kameni avec leurs eaux vertes sulfureuses dont les températures avoisinent les 37°C sont tentantes. On se baigne alors avec délice au cœur de cette Caldera. Akrotiri la « Pompéi » de Santorin abrite les ruines d’une cité du néolithique ensevelie sous les cendres lors d’une éruption volcanique à l’âge du bronze. Les fouilles ont mis au jour des vestiges urbains en excellent état! Extraordinaire quand l’on sait qu’ils remontent au 17e siècle avant notre ère… Après ce retour tangible dans le passé , on reprend le bus pour Oia en traversant de nombreux petits villages perchés au dessus de la mer. Oia est un petit bijou posé à flanc de falaise dominant l’ancien cratère dont l’architecture traditionnelle des Cyclades lardés de coulées de lave fournit de merveilleuses perspectives.

Très proche mais toute en contraste, Délos

face à l’île de Rhénée figure une langue de terre aride où vent et vagues semblent avoir tout balayé. Il ne reste pour ainsi dire rien , seules, émergeant d’un tapis d’herbes brûlées, les ruines s’étalent au pied du mont Cynthe, modeste colline et unique relief de l’île. Au sommet s’élève le sanctuaire d’Apollon et d’Athéna avec sur les flancs toute une série d’édifices culturels. Précédé d’un propylée en ruines, les pèlerins de jadis comme ceux d’aujourd’hui passent par l’agora des Compétaliastes (du nom des Compitalia, divinités romaines honorées par les esclaves et les affranchis)pour accéder au sanctuaire d’Apollon. Sur une vaste esplanade subsistent les vestiges de quatre temples consacrés au dieu. Il s’y dressait jadis une colossale statue le représentant dont il ne reste que le torse, (une main est conservée au Musée local et un pied au British Museum!)p Figée par 2.000 ans d’abandon, l’île-musée dessine un impressionnant dédale de pierres blanches dans lequel on se perd, tels ces pèlerins et ces marchands d’antan, quand Delos rayonnait sur l’Égée.

Au nord des Cyclades, Mykonos

doit son nom (Mucon – terre pauvre) aux Phéniciens .Cette petite île granitique et aride vécut d’abord dans l’ombre de sa brillante voisine Delos puis, sous la période latine, dans l’orbite de Tinos. Elle devînt sous l’autorité ottomane un repaire de pirates. L’archéologie a bien du mal d’ailleurs à lui trouver quelques traces de civilisation cycladique, même si le Musée Maritime de l’Égée fait montre d’une fantastique collection de maquettes de bateaux. Cependant aujourd’hui son port vénitien remarquable et ses moulins universellement connus ont pris une éclatante revanche sur un destin longtemps obscur. Elle est devenue sans doute l’île star la plus jet set de tout le bassin Méditerranéen et le quartier d’Alefkandra mondain et turbulent « la petite Venise » se transforme le soir venu en discothèque géante léchée par la mer. L’entrelas de petites rues regorgent de boutiques où le shopping règne en maître. On s’y presse, mais si on préfère on peut aussi se perdre dansl sa campagne truffée de maisons blanches aux volets bleus mis-clos, nonchalament nourrir les flamands roses, papoter avec les pêcheurs ou sillonner à scooter les petites routes avant de déguster un ouzo rafraîchissant à l’ombre des platanes . Une Grèce bucolique et éternelle. 

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En ce qui concerne Istanbul comme d’ailleurs pour un séjour en Turquie en général

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Coup de cœur Hostellerie à Istanbul : à mi chemin entre les quartiers de Taksim et Levent, le Renaisssance Istanbul Bosphorus appartenant au groupe.

Mariott est idéalement situé à quelques minutes du port principal et des joyaux culturels de la ville ; Saint Sophie, la Mosquée Bleue, ou le Palais de Topkapi. L’hôtel coiffé d’un superbe bar panoramique décline sur ses 20 étages 212 chambres et suites raffinées offfrant une vue imprenable sur le Bosphore. Vastes, dotées d’une literie de luxe et de couleurs douces, elles disposent toutes des dernières technologies . Un lobby-bar feutré, un bistrot élégant et un restaurant avec terrasse (ouvert 24h sur 24 )proposant cuisine méditerranéenne et et spécialités turques complètent les prestations . A disposition des clients privilégiés ; centre de remise en forme performant, piscine intérieure, sauna et hammam viennent à point nommer corriger les excès gastronomiques de cette ville tentatrice . Information et réservation : www.renaissancehotels.com

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Le PONANT (photo François Lefebvre)

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